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ring ring (jax jones, mabel & rich the kid) ❀ safe (daya) ❀ carry me (eurielle) ❀ is this love ? (bob marley) ❀ eastside (halsey, khalid & benny blanco ❀ wicked game (ursine vulpine & annaca) ❀ lovely (billie eilish & khalid) ❀

si tu étais

une plante: l o t u s ❀ un animal: m a n t e     o r c h i d é e ❀ un élément: p h o s p h o r e ❀ une pierre: s a p h i r    é t o i l é ❀ une saison: p r i n t e m p s ❀ un des cinq sens: v u e ❀ un pays: l a o s ❀ une planète: n e p t u n e ❀ une constellation: c o u r o n n e     b o r é a l e ❀ un paysage: m a n g r o v e ❀ un personnage de fiction: p r i n c e s s e    s a r a h ❀ une figure historique: p r i n c e s s e    d i a n a ❀ un mot: s u b l i m i n a l ❀ un super-pouvoir: c u p i d o n ❀ une créature imaginaire: l i c o r n e ❀ un mouvement artistique: m a n i é r i s m e    d' a r c i m b o l d o ❀ un événement historique: i m m o l a t i o n   d e  
j e a n n e    d ' a r c ❀ un plat: f i l e t   m i g n o n ❀ un dessert: i s p a h a n ❀ une boisson: c e r e z a    c o l a d a ❀ un fruit: l i t c h i ❀ un légume: a r t i c h a u d ❀ une fragrance: v a n i l l e ❀ un chiffre: p i ❀ une loi: e f f e t   d o p p l e r ❀ un hashtag: # x o x o ❀ un smiley: (◕‿◕✿)

Afféterie auréolée d'un prodigieux éclat, noctulescent à travers l'abyssale obscurité, enseveli des truculentes ardeurs de ces autres existences, parfois dérobée de son ingénieuse lueur pour se corroder d'une fallacieuse victoire au creux d'usurpatrices paumes. Perfidie pourtant nullement craquelée de ta hargne, la bonté ruisselante au creux de ces rutilantes racines ornementant tes arabesques t'entravant doucereusement, émoulue de la chétivité de ton introversion. Et les imaginatives épopées flagellent ardemment tes méninges, catapultant ton esprit au creux d'utopiques et illusoires onirismes. Bohémiennes odyssées adulées, ton myocarde vagabond. Dérive qui flamboie trop souvent d'idylles tandis que tes féeriques phalanges érigent maintes médusantes merveilles, joyaux exsudés de tes ingénieux élans. Une sibylline brume sertit silencieusement ton existence, ta crépitante réserve pétrifiant trop souvent tes vocales oscillations, tes iris s'enlisant au creux d'innombrables contemplatives perditions, les corporels balbutiements étiolés de ta fervente perspicacité, incapables de détonner à travers des escapades. Porcelaine poupée que tu es, fissurée de ces pessimistes maux, tempestant voluptueusement parmi les tréfonds de tes entrailles, aléas pourtant conquis de la férocité de ta hardiesse. Nymphe au myocarde serti d'or massif dont maints talents semblent inavoués, tes courbes se galvanisant de leur adresse sur le cavaleur skateboard, emportées de quelques virevoltes ...

Pile ou face ?
Qu'importe, les actes aptes à forcer le destin.

Quel est votre signe astrologique ?
Verseau.

Plutôt Parti Républicain ou Démocrate ?
Aucun, certaines décisions guère possession d'humaines vitalités, davantage offrandes de la destinée déjà esquissée.

Pensez- vous que le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito ?
Il n'est que conjecture de paramètres drastiquement pré-établis.

Croyez-vous aux soucoupes volantes, aux projections astrales, à la télépathie, aux pouvoirs parapsychiques, à la voyance, à la chasse aux fantômes, à la télékinésie, à la transe médiumnique, au monstre du Loch Ness et à la théorie de l'Atlantide ?
Curiosités érodant tes entrailles de paradoxales ardeurs, tantôt bourreaux de ces croyances opulentes d'ésotérisme, tantôt empathiques, hurlant à l'agonie à l'égard de preuves. Chancelante indécision qui vogue doucereusement au creux de tes méninges.

Ah et j'oubliais : la réincarnation, ça vous parle ? Êtes-vous persuadée d'avoir été un philosophe barbu et barbant dans une vie antérieure ?
Expérience de la vie qui éveille ta fascination, désireuse de l'estampiller de rationalisme. Epreuve assujettissant de rares existences, jamais abattue sur ta carne.

Fidelio ? On peut se voir ? J'ai ... quelque chose à te dire ... Féminine symphonie flagellée de souffreteuses saccades qui avait effleuré le combiné avant qu'il ne soit raccroché, tes arabesques emportées au creux de ton déstructuré sillage, le désespoir écorchant ton myocarde. Et lorsque cette fameuse colline qui s'était galvanisée de vos incessantes retrouvailles fut revêtue de ton existence, tes iris s'arrimèrent à ceux du jeune homme ayant devancé ta hâte, s'y enlisant mélancoliquement. Ses côtés silencieusement délectés, tes phalanges agglutinées à tes accoutrements les ruinèrent de crispations, l'impuissance d'échapper à ce départ si indésirable t'asphyxiant ardemment. Une fervente inspiration s'engouffra finalement au coeur de tes narines, tes prunelles s'entichant à nouveau de l'azuré de celles de Fidelio. Pardonne-moi ... Ma mère vient d'obtenir un poste ailleurs et on compte déménager très bientôt. Je suis venue te faire ... mes adieux ... Esquisse culminée d'une fallacieuse plénitude qui se pavana le long de tes lippes, pourtant ternie de ces perles de nacre qui cascadèrent subitement le long de tes pommettes. Ta stupeur s'enroba d'efflorescence, la nervosité expiée de ces quelques rieuses brisures détonnant à travers les airs, la pulpe de tes digitales extrémités s'adonnant à éclipser quelques lacrymaux joyaux. Ah ? Tiens ... Je m'étais promise de ne pas pleurer ... Affres toujours crépitants alors que le jeune homme te lénifia de l'étau de ses bras qui enveloppa doucereusement tes esquisses, les affaissant tendrement contre son réconfortant tronc. Et les douloureux flots, ravivés, ruisselèrent ...

Les éclatants honneurs parsemaient ce diplôme, éternelle lactescente estampille échouée au creux de tes paumes, les élogieuses acclamations carillonnant à travers les airs. Une rayonnante esquisse asphyxiée de plénitude était avachie le long de tes lippes, tes géniteurs immortalisant ta béatitude de l'aveuglante et fugace lueur expiée de leur appareil photographique. Ephémère gloire qui se craquela de votre éclipse pour regagner votre demeure familiale. Un sillage qui fut cependant estropié d'une halte, d'inconnues phalanges s'éprenant de ton épaule droite. De masculins traits faciaux agrémentés d'une paire de lunettes se heurtèrent à tes prunelles incendiées d'interrogation. Existence qui s'était extirpée de la Tyrell Corp de Las Vegas, désireuse de déceler les talents disséminés de l'Amérique. Innombrables gemmes constellant silencieusement les tréfonds du continent, afféterie semblant sertir ta vitalité qui affriola l'attention de l'inconnu. Sa carte professionnelle fut délaissée, délicatement épousée de tes paumes tandis que l'énigmatisme qui suinta d'entre ses lippes cautérisa ferventement ta mémoire. Votre destinée est à Tyrell Corp, jeune demoiselle ... Dires qui fracassèrent maintes fois ta mémorielle pellicule de leur écho. Puis vint le déménagement, le soleil californien abandonné de ta présence qui ornementa désormais la truculence des néons de Las Vegas, le palpitant vacillant d'affliction, exsudée de cette distance t'écartelant des êtres chéris, l'intégration au pharmaceutique laboratoire définitivement étreinte de ton acceptation.

Les ardeurs hurlant à l'agonie envers cette idylle encore trop chétive à ton esprit ébouillantaient tes imaginatives méninges. Fébrile passion suintée de Miraël, flamboyante au creux de tes reins que tu désiras embraser de ton audace qui te catapulta au creux de la salle des archives de la Tyrell corp. Pièce opulente de ces secrets inavoués à la muraille presque impénétrable que tu parvins à fissurer de ton statut privilégié, octroyé de ton ingéniosité. Ses entrailles ainsi fugacement farfouillées, ce fut une sibylline fiole qui fut décelée, agrémentée d'un amoncellement de dossiers. Tes iris vagabondèrent le long des cendrés écrits constellant leurs tréfonds, d'innombrables et d'abyssales véracités s'exhibant alors à ta conscience. Sombres desseins qui te balafrèrent de tourments. De rares pages furent ardemment dérobées, étiolées de ces déchirures déflagrant du bout de tes diligentes phalanges et tes courbes délaissèrent alors la salle, désireuses de se réfugier pour continuer à déceler les secrets. Elles se médusèrent cependant au cours de leur escapade, le faciès de Miraël auréolant soudainement ton visuel panorama. Miraël ? Que fais ... Interruption qui tempesta ferventement, érigée de son crépitant baiser qui scella tes lippes, tes prunelles se vivifiant ainsi d'écarquillement, l'incompréhension entrelacée de stupeur érodant ton existence. Passionnelle fougue qui s'évanouit aussi fugacement qu'elle t'avait conquise tandis que le hurlement de l'alarme saccagea le bâtiment de sa stridence. Et tu t'engouffras au creux d'une échappée, déstabilisée à en perdre haleine, le palpitant effréné tantôt de cette inquiétude d'être démasquée pour avoir emporté quelques uns de leurs futurs méfaits, tantôt de ces sentimentales divagations ravivées de l'ardeur du séduisant journaliste. Ta demeure ne put cependant jouir de ton retour, les forces de l'ordre la jalonnant déjà, te contraignant à l'abandonner également, la carillonnante mélodie de tes talons continuant à chaotiquement estampiller les airs, ta destination inconnue alors que tu cavalas inconsciemment au coeur d'une route, une voiture épargnant ton vital souffle de justesse. Collision évincée qui t'ensevelit pourtant d'un fervent choc, ta carne écroulée sur le bitume frissonnante, tes iris s'entichant finalement désespérément de ceux de la conductrice ...